Detecting language using up to the first 30 seconds. Use `--language` to specify the language Detected language: French [00:00.000 --> 00:06.040] Vraiment dans la joie de voir parce que quand on passait dans les trains, il y avait des trains cassérés. [00:06.040 --> 00:11.520] Quand maintenant on a beaucoup de voies, les gens peuvent surcler vraiment dans la tranquillité. [00:11.520 --> 00:15.960] Si tu as un moyen, tu peux prendre un moyen à Brazzaville, tu arrives, c'est une bonne chose. [00:15.960 --> 00:22.600] Vraiment, c'est parce que dans les villages un peu enclavés, les gens ont vraiment des difficultés de... [00:22.600 --> 00:27.080] Il y avait des difficultés de venir vendre ici à Pointe-Nord, mais maintenant quand tu as les routes, [00:27.080 --> 00:33.120] il y a la facilité, il y a la facilité de rentrer la marchandise, soit à Pointe-Nord, soit à Brazzaville. [00:33.120 --> 00:37.120] C'est une bonne chose pour les routes, on a besoin des routes au Congo, c'est ça. [00:37.120 --> 01:04.640] Les routes confondes à Pointe-Nord, en un gros. [01:07.120 --> 01:34.920] Un endroit, par exemple, fut débatisé par les chauffeurs, l'Oba Vérité, soit littéralement, [01:34.920 --> 01:40.480] cite la vérité. L'Oba Vérité, l'expression est née du fait des difficultés rencontrées [01:40.480 --> 01:45.640] par les automobilistes pour escalader cette montagne. Il fallait dire la vérité. Si [01:45.640 --> 01:54.080] votre permis était un vrai ou un vrai faux, suivez mon regard. Que de véhicules endommagés, [01:54.080 --> 02:00.040] que de malades restés sans assistance, que de marchandises abîmées. La sagesse commandait [02:00.040 --> 02:06.080] aux conducteurs de ralentir ici, de s'arrêter là et se resoudre parfois à descendre pour [02:06.080 --> 02:11.440] resserrer les boulons, rajuster les cosses. Il fallait être aguerris à l'ardeur des [02:11.440 --> 02:17.240] coups durs pour conduire toute la nuit, conduire toute la journée, reprendre le volant toute [02:17.240 --> 02:22.520] la nuit et toute la journée encore. On voyageait vraiment dans des conditions impossibles à [02:22.520 --> 02:30.800] croire. Avant, on pouvait faire le point noir de l'UZI. Ça pouvait prendre au moins sept heures du temps. [02:30.800 --> 02:35.600] Maintenant, même s'il pleut, vraiment, il n'y a plus de problème. Je suis chauffeur. [02:35.600 --> 02:39.640] Je fais cette route de l'UZI point noir. La route est très bien. Sauf qu'en portant [02:39.640 --> 02:45.000] en outre les chauffeurs, en condition, il faut respecter un peu les panneaux afin que tu [02:45.000 --> 02:51.000] transportes et tu fais très bien ton transport du départ à la destination. Il y a des clients [02:51.000 --> 02:55.200] qui sont très pressés. Il faut leur conduire un peu vite. Il y a des clients qui disent non, non, on va [02:55.200 --> 02:59.840] doucement, doucement. Sinon, maximum, si tu respectes tout, c'est trois heures du temps de le taxi. [02:59.840 --> 03:04.080] Mais si tu ne respectes pas, tu roules un peu vite, tu peux faire deux heures et quelques. J'ai l'ambition [03:04.080 --> 03:07.600] de faire seulement deux tours parce que je ne suis pas trop pressé pour la voiture. Il faut essayer [03:07.600 --> 03:13.680] un peu de conserver le matériel pour demain. Je fais l'aller-retour en une journée. Je peux [03:13.680 --> 03:18.320] aussi parfois faire trois tours, mais sauf que je ne veux pas faire ça pour garder tout simplement [03:18.320 --> 03:22.800] le matériel. La route est très bien faite. Très bien faite. On remercie son excellence, [03:22.800 --> 03:30.040] Denise Asunguessie, qui nous a pensé de nous faire cette belle route-là qui va peut-être faire au moins [03:30.040 --> 03:36.280] vingt ans plus tard, mais sauf que ce que je veux demander aux autorités politiques et ce qu'il [03:36.280 --> 03:42.720] veut les grands travaux, qu'il, après ça, pour le travail, qu'il laisse un service d'entretien. [03:42.720 --> 03:48.480] C'est ça qui va faire que la route puisse mettre beaucoup de temps. Sans entretien, on ne doit rien [03:48.480 --> 03:55.760] récolter. Je fais la route d'Aulisi-Pointe-Noire. Je quitte, je fais moins trois heures du temps, [03:55.760 --> 04:02.480] trois heures trente de marche d'Aulisi-Pointe-Noire. Je transporte le passager dans ma rave 4. La route, [04:02.480 --> 04:10.080] elle est très bonne, elle est bien faite. Ça me fait six ans plus que je suis dans la route. Au [04:10.080 --> 04:16.880] moment que la route n'était pas encore bonne, j'ai quand même l'expérience de la route. Ce que je [04:16.880 --> 04:22.920] beaucoup apprécie vraiment, la route, elle est bien faite. Je dois juste attirer l'attention à mes [04:22.920 --> 04:30.360] collègues chauffeurs, c'est de rouler doucement. Je déjà effectue une longue distance qui chasse [04:30.360 --> 04:37.560] à bas Congo, qui fait 365 kilomètres. Je vis, j'ai constaté beaucoup des accidents aussi dans la [04:37.560 --> 04:42.600] route. Également, nous, la route, elle est encore courte d'Aulisi-Pointe-Noire. Je crois que ça peut [04:42.600 --> 04:49.720] faire 160 quelques. Ou bien, c'est un parcours qu'on peut parcourir même à deux heures ou une heure trente. [04:49.720 --> 04:55.000] Mais il faut respecter le matériel, respecter le passager. Donc, il faut faire moins trois heures, [04:55.000 --> 05:01.040] trois heures trente pour arriver jusqu'à Aulisi. Vraiment, nous sommes heureux. J'apprécie le [05:01.040 --> 05:06.040] bon travail du président de la République. Ce dernier temps, nous roulons librement. Nous circulons [05:06.040 --> 05:13.320] librement. Il y a une chose, il faut respecter le panneau, il faut respecter le virage. Là, [05:13.320 --> 05:17.400] tu peux faire même vingt ans. Et puis, nous demandons l'entretien dans la route. [05:17.400 --> 05:22.320] Les difficultés rencontrées par les ouvriers et les ingénieurs étaient telles qu'ils crurent, [05:22.320 --> 05:28.480] quelquefois à tort ou à raison, avoir gravement mécontenté les génies de la montagne. Sur ce [05:28.480 --> 05:32.680] tracé, ces génies se seraient dressés pour rappeler aux premiers arrivants qu'une bête de [05:32.680 --> 05:37.720] somme s'achète à son propriétaire. Quelques loyautés ont été accomplies afin d'apaiser les [05:37.720 --> 05:43.400] génies et leur demander la possibilité de vaincre le maillot. C'est tout le sens du rituel organisé [05:43.400 --> 05:48.440] sur les chutes de Muzzololo demandant aux génies gardiens du terroir de libérer les lieux pour [05:48.440 --> 05:53.920] permettre aux Chinois de travailler sans complication et d'enrayer les accidents très intenses dans [05:53.920 --> 05:59.400] la zone du chantier les premiers jours des travaux. Le plus grand obstacle, ce fut une grosse pierre [05:59.400 --> 06:04.440] informe qui taillait pour les besoins de la cause, se recomposait immédiatement au matin du jour [06:04.440 --> 06:09.160] suivant, obligeant les travailleurs à reprendre plusieurs fois et plusieurs jours la même [06:09.160 --> 06:17.000] opération, comme Pénélope tissant sa toile ou Sisyphe escaladant sa ponte. Le reportage dans [06:17.000 --> 06:22.440] cet étonnant paysage encourt le risque de prendre les allures de promenade tantôt par un mystère et [06:22.440 --> 06:29.120] attire inmanquablement interrogation et réflexion, curiosité et envie. Rien à vrai dire qui puisse [06:29.120 --> 06:34.240] dissiper le mystère. Chercheurs et scientifiques donneront un jour réponse à ces questions. [06:34.240 --> 06:41.280] En attendant, une certitude néanmoins, c'est que Denis Sasungesso vient de vaincre cette témérité [06:41.280 --> 06:45.680] naturelle en construisant une route lourde dans le tracé franchi les légendaires et [06:45.680 --> 06:52.000] rédoutables montagnes du Mayon. La route, objet de la fierté des Congolais, serpente désormais [06:52.000 --> 06:55.720] orgueilleusement vers Brazzaville, qu'elle atteindra après quelques années seulement. [06:55.720 --> 07:03.320] Serait-il exagéré de le dire? Assurement non. En effet, c'est un chantier qui a eu avec la [07:03.320 --> 07:08.880] difficulté une proximité particulière. Un chantier sur lequel le corps pouvait craquer à un moment ou [07:08.880 --> 07:15.240] à un autre. Dieu merci, il y avait beaucoup de difficultés à surmonter, c'est vrai, mais en même [07:15.240 --> 07:20.020] temps, on était stimulé par l'intérêt de ce qu'on faisait et par le sentiment que ce qu'on [07:20.020 --> 07:25.840] faisait avait une importance. Pour ce faire, tous étaient convaincus qu'il ne faut jamais se laisser [07:25.840 --> 07:31.440] accabler par la baison, car en s'organisant bien, on peut faire face et résister à sa charge. [07:31.440 --> 07:39.080] Pour la plupart d'entre eux, la fin des travaux est un moment de très grande émotion, de même [07:39.080 --> 07:44.480] que quitter ce site. C'est la fin d'un moment où ils ont vécu ensemble. Ils ont vécu des moments [07:44.480 --> 07:51.800] tellement intenses. Il y a eu tellement de charges, d'exigences personnelles, de déploiement de chacun, [07:51.800 --> 07:58.760] de vos collectives, que chacun est très marqué. Pour eux, bien sûr, le Mayom restera une expérience [07:58.760 --> 08:03.960] inoubliable. Dans l'organisation quotidienne du travail, il fallait voir à quel rythme les [08:03.960 --> 08:09.120] ouvriers travaillaient, à quelle cadence les ingénieurs s'activaient, à quelle allure les [08:09.120 --> 08:14.600] contrôleurs se pressaient, à quelle mesure les machines s'afferaient autour des tâches monumentales, [08:14.600 --> 08:21.000] à quel entrain les machinistes creusaient, bêchaient ou ramblaient. Avec quel enthousiasme chaque corps [08:21.000 --> 08:25.800] de métier fournissait toute la mesure de son talent, avec quelle ardeur conducteurs d'engins et [08:25.800 --> 08:31.360] manoeuvriers, métaux d'ouvrage et maîtres d'oeuvre s'y employaient sans relâche, de jour comme de [08:31.360 --> 08:37.240] nuit, sous la pluie battante ou sous le soleil ardent, à déjouer le piège, à démonter la butte, [08:37.240 --> 08:42.880] chacun s'efforçant autant que faire se peut de donner le meilleur de lui-même. Il fallait vraiment voir. [09:08.240 --> 09:17.120] Et qui l'eut cru? Vaincre cette grande montagne qui est de Mayonne. Donc on peut dire, mission [09:17.120 --> 09:25.200] accomplie peut-être, parce qu'on va arriver très bientôt à Tunisie. Vaincre Mayonne, qui l'eut cru, [09:25.200 --> 09:30.880] franchement? De quoi écrire l'histoire de ce pays? Et je crois que plusieurs chefs d'État ont [09:30.880 --> 09:37.360] rêvé aussi de réaliser une aussi grande oeuvre. On a jusqu'à là toujours pensé que c'était le [09:37.360 --> 09:44.520] chemin de faire ce que l'on a aujourd'hui. Demain encore, c'est peut-être d'autres routes que vous allez [09:44.520 --> 09:52.000] voir dans ce pays. Evidemment, il n'y a plus qu'à avoir un sentiment de satisfaction et de dire merci [09:52.000 --> 10:00.120] au président de l'État. Non seulement il a rêvé, mais il a réalisé. Et les populations, les Congolais, [10:00.120 --> 10:05.960] nous devons le rendre, vraiment, cet hommage. Le remercier pour ce travail-là. Beaucoup peuvent y [10:05.960 --> 10:11.280] penser, mais il faut un nombre de courage. Et avoir aussi une équipe, bien sûr. Il n'y a pas [10:11.280 --> 10:17.960] que lui, mais il y a toute l'équipe qui l'a soutenu, qui était derrière. Et aussi nos frères [10:17.960 --> 10:24.080] chinois. Ils ont pensé qu'ils pouvaient le faire. Je suis très émue et je suis là la première à être [10:24.080 --> 10:30.600] sur ce péage. Comment c'était fait? Beaucoup, c'est tellement vous, surtout les jeunes, [10:30.600 --> 10:37.320] vous écrivez sur cette route. Et là, comme on voit dans notre pays d'Afrique, avancé comme la [10:37.320 --> 10:43.600] frais du sud. Et nous sommes là. C'est une fierté pour moi. Et maintenant, c'est l'homme qui est au centre [10:43.600 --> 10:49.360] de tout. Il va falloir que les Congolais aussi se mettent au travail. Ne pas toujours attendre la [10:49.360 --> 10:54.440] cistana. Malheureusement, c'est ce que nous voyons dans notre pays. Actuellement, tout doit être [10:54.440 --> 10:59.840] gratuit. Mais on pense que, comme on dit, il n'y a pas de sous-métiers. Il n'y a pas de sous-métiers. [10:59.840 --> 11:04.320] Souvent que les gens sont toujours comme on dit. Effectivement, c'est vrai. Nous avons la route, [11:04.320 --> 11:09.040] mais il va falloir que les jeunes travaillent. Et les jeunes travaillent. Le président parle toujours, [11:09.040 --> 11:15.640] toujours et toujours de l'agriculture. Lentement, quand on venait ici pour certaines visites, [11:15.640 --> 11:22.600] les populations se plaignaient du manque toujours de la route. Les Sahara ou ailleurs, les Bandas, [11:22.600 --> 11:26.720] ils produisaient beaucoup, beaucoup, beaucoup de bananes. Mais ils ne pouvaient pas écouler leurs [11:26.720 --> 11:31.840] bananes jusqu'à Pointe-Tour, jusqu'à Brazzaville ou Pointe-Tour. Parfois, il y a un manque de route. [11:31.840 --> 11:37.920] Maintenant, on a la route. Mais il va falloir aussi que les jeunes se mettent au travail. Qu'on produise [11:37.920 --> 11:43.880] plus pour faire vivre ces villes-là. Nous pensons aussi qu'il y aura moins d'exos rurales. Il y aura [11:43.880 --> 11:47.960] des jeunes qui vont s'installer parce que la route va amener certainement d'autres travails, [11:47.960 --> 11:54.440] va amener d'autres structures qui feront que les jeunes restent dans leurs villages. Sur les 160 [11:54.440 --> 11:59.520] kilomètres de route aujourd'hui bitumées, l'entreprise chinoise China State Construction [11:59.520 --> 12:04.960] Engineering Corporation a fait intervenir de puissants moyens techniques pour bâtir les murs [12:04.960 --> 12:10.080] de soutenement, remuer des millions de mètres et cubes de terre, braver les oboulements et les [12:10.080 --> 12:15.080] effondrements de terrain, contrôler les chutes d'arbres et les mouvances du sol, terrasser des [12:15.080 --> 12:21.160] millions de mètres et cubes de talus, ériger des pans, des dalos et autres ouvrages d'art. Au [12:21.160 --> 12:28.520] total, 299 milliards, 441 millions de francs CFA ont été engagés rien que pour le premier [12:28.520 --> 12:34.280] tronçon. Oui, effectivement, le premier tronçon est terminé. Il est déjà sous circulation [12:34.280 --> 12:38.520] puisque les enroblés sont finis jusqu'à Dolizie. Et depuis une petite année, on a commencé la [12:38.520 --> 12:43.760] mobilisation sur le tronçon de Dolizie-Brazaville et les travaux ont débuté il y a environ six mois. [12:43.760 --> 12:51.720] Je suis Edith Prarios, je suis le chef de l'eau de la mission de contrôle des travaux entre Pointe [12:51.720 --> 12:57.840] Noire et Malélé. Donc le tronçon est sur 54 kilomètres plus encore 1300 mètres sur la [12:57.840 --> 13:06.440] RN6 pour faire l'autre poste de pesage. Nous sommes là sur le poste de pesage. Donc le poste se [13:06.440 --> 13:13.760] compose de huit voies, quatre voies dans un sens, quatre voies dans l'autre, une voie à l'extrémité [13:13.760 --> 13:20.760] pour les poids lourds qui fait bon plus de 4 mètres 50 de large pour tenir compte un peu [13:20.760 --> 13:28.200] des hors gabarit des éventuels des poids lourds plus trois fils de trois mètres pour les véhicules [13:28.200 --> 13:37.000] légers. Chaque poste est à peu près semi automatisé, c'est à dire que la barrière est automatique. La [13:37.000 --> 13:45.280] hauteur sous le pavillon c'est à peu près une hauteur de six mètres avec là le bâtiment [13:45.280 --> 13:51.600] administratif, un bâtiment pompe avec la bâche à eau là pour un système d'incendie plus les [13:51.600 --> 13:57.520] systèmes d'alimentation en eau des toilettes publiques. Ici on a un poste de pesage pour [13:57.520 --> 14:02.640] les poids lourds avec les éventuels sur gabarit, enfin les éventuels surcharges des poids lourds, [14:02.640 --> 14:07.360] les poids lourds qui seront en surcharge vont être dirigés vers le poste de parking pour [14:07.360 --> 14:11.040] se faire décharger. Et je vous dis l'installation électrique est faite, la nuit toutes les lumières [14:11.040 --> 14:19.400] fonctionnent, les barrières fonctionnent. Les usagers de cette route qui n'existait pas, [14:19.400 --> 14:24.560] ils n'étaient pas habitués au poste de pillage, et ce qui s'accomode un peu avec l'installation de [14:24.560 --> 14:33.480] ce grand bijou. Pour l'instant il n'a jamais fonctionné vraiment pour les véhicules mais je [14:33.480 --> 14:39.720] pense qu'on aura fait toute la signalisation pour que les gens s'habituent. Donc c'est vrai [14:39.720 --> 14:42.800] qu'il y aura une petite phase d'apprentissage, il y a déjà deux pH qui existent donc les gens [14:42.800 --> 14:49.920] comprennent le système des barrières et de s'arrêter pour régler la taxe pour le [14:49.920 --> 14:56.760] roulage. Pour moi il n'y aura pas de problème, il y aura un peu d'apprentissage certes mais c'est [14:56.760 --> 15:01.720] une phase qui ne va pas durer très longtemps. Au PK 137 près de Mvuti a été construit un pont [15:01.720 --> 15:08.120] de 50 mètres de long avec trois travilles. Mvuti, une des grandes localités traversées [15:08.120 --> 15:13.760] par la route nationale numéro 1, tirerait son nom de Divuti, un arbre très célèbre dans la [15:13.760 --> 15:19.400] région. Sous cet arbre se seraient déroulés les entretiens entre l'explorateur colonial et le [15:19.400 --> 15:25.960] propriétaire foncier, le vieux Mandimbu. La légende ajoute que c'est un arbre plein de mystère qui [15:25.960 --> 15:31.160] coupait la veille, se reconstruisait intégralement le lendemain. C'est le vieux Emile Makosso, [15:31.160 --> 15:35.960] originaire de Mandingokai, qui répondant aux colons aurait indiqué qu'il conversait sous le [15:35.960 --> 15:42.520] Divuti. Sur quoi l'homme blanc conclu que le village qu'il visitait s'appelait Mvuti. Aujourd'hui [15:42.520 --> 15:48.360] le petit Mvuti, hier simple comptement de chasseur, s'est agrandi, devenant une gare de référence sur [15:48.360 --> 15:54.520] le chemin de fer Congo-Océan avec ses 4000 habitants. Mvuti, c'est aussi et désormais le [15:54.520 --> 16:00.720] passage de la route Pointe-Noire-Brasaville. Ici, l'ancien bâtiment hélas désuet qui abritait les [16:00.720 --> 16:06.360] services administratifs du district a été démoli. À la place, le président de la République a [16:06.360 --> 16:11.080] bâti un nouveau siège de sous-préfecture. Il y a aussi le social que, comme vous avez bien dit, [16:11.080 --> 16:20.080] pour la construction des écoles, des centres de santé intégrés et nous avons aussi l'obligation [16:20.080 --> 16:25.600] lorsque nous trouvons qu'il y a un bâtiment administratif qui se trouve dans l'emprise de [16:25.600 --> 16:30.840] la route, on est obligé de casser ce bâtiment et de construire un autre. C'est comme en Mvuti, [16:30.840 --> 16:35.880] vous avez vu la sous-préfecture de Mvuti, le bâtiment de la sous-préfecture se trouve dans [16:35.880 --> 16:41.280] notre emprise et on est obligé de faire un autre projet pour construire un nouveau bâtiment pour [16:41.280 --> 16:49.400] la sous-préfecture. Nous passons à 5 mètres, 3 mètres de l'Aquaband de faire une sous-préfecture [16:49.400 --> 16:55.840] là où il y aura des camions qui vont passer à vivre à l'heure. Il n'y a pas d'autre commentaire à faire et la route est bien là. [16:55.840 --> 17:03.560] Nous, la population du Mayom, nous sommes très soulagés, vraiment très soulagés parce que la [17:03.560 --> 17:10.560] route est visible. Pour arriver à Pointe Noire ici, c'était vraiment, c'était un crash quoi, c'est un crash, [17:10.560 --> 17:19.600] c'était dans le temps, avant la route, c'était vraiment difficile. Dites-moi, la route, on le sait, [17:19.600 --> 17:26.600] c'est un facteur important de développement ici à Mvuti. Comment entendez-vous contribuer au [17:26.600 --> 17:34.000] développement du Congo au travers de cette route qui passe désormais par Mvuti? Oui, pour le [17:34.000 --> 17:40.840] développement, notre contribution, c'est l'agriculture en premier lieu quoi, c'est [17:40.840 --> 17:47.880] l'agriculture parce qu'aujourd'hui on pense pas, nous avons la forêt, nous avons les eaux, on peut [17:47.880 --> 17:52.600] tout utiliser pour le développement du pays par rapport à la route où c'est la forêt, en fait c'est [17:52.600 --> 17:57.760] l'agriculture, l'élévage. Qu'est-ce que vous faites ici précisément à Mvuti? Bon ici on fait [17:57.760 --> 18:02.840] l'agriculture. Vous-même vous faites quoi? Moi je fais l'agriculture et je fais le sillage artisanal, [18:02.840 --> 18:09.720] j'essaye la planche. Est-ce que les jeunes de Mvuti eux aussi, ils font comme vous? Oui, nous [18:09.720 --> 18:17.120] sommes nombreux, nous sommes nombreux à faire surtout le sillage, les plantations parce qu'on [18:17.120 --> 18:24.560] avait un peu de difficultés pour transporter, il y a pu y avoir des boutures, soit des trajons, [18:24.560 --> 18:31.040] des bananes, tout tout tout, mais je pense qu'avec la route ça va marcher. Mais maintenant là, nous [18:31.040 --> 18:35.920] sommes des jeunes, nous sommes nombreux à faire le sillage artisanal. La route elle est donc visible [18:35.920 --> 18:41.840] aujourd'hui, ça vous permet d'écouler facilement vos produits et donc votre sentiment par rapport [18:41.840 --> 18:46.600] à ça, est-ce que vous êtes content par rapport à ça, soulagé? En tout cas les sentiments sont [18:46.600 --> 18:53.440] énormes, nous sommes tellement ravis, nos jeunes de Mvuti, en fait ceux qui réfléchissent quoi. La [18:53.440 --> 18:59.480] route aujourd'hui elle est faite, le président a fait pour nous quoi, c'est un bijou parce que ça passe [18:59.480 --> 19:07.240] directement dans notre village, donc dans notre village, donc pour nous c'est en fait c'était un [19:07.240 --> 19:13.000] rêve, devenu une réalité aujourd'hui. On ne savait même pas, parce que moi je suis natif de Mvuti, [19:13.000 --> 19:18.360] je suis né en Mvuti, on ne pensait même pas un jour qu'on allait voir le gautron chez nous en [19:18.360 --> 19:25.400] Mvuti. En fait c'était vraiment un rêve, c'est vraiment un rêve, donc voilà pourquoi je dis que [19:25.400 --> 19:33.680] nous devons réfléchir. Je pense que d'abord, dans un premier temps, je soutiens d'abord le projet [19:33.680 --> 19:43.600] de l'initiation Gesso, le chemin d'avenir, parce que avec le chemin d'avenir, nos populations [19:43.600 --> 19:50.640] semblent un peu être soulagées, en principe soulagées, parce que aujourd'hui là, par rapport à la vie [19:50.640 --> 19:59.680] d'hier, il y a un changement carrément. Hier, la population avait des difficultés pour se déplacer, [19:59.680 --> 20:08.440] donc aujourd'hui, avec la présence de la route, l'habitant du Mayombe qui avait des difficultés pour [20:08.440 --> 20:15.320] se déplacer, aujourd'hui se déplacent facilement, surtout pour les commerçants, les hommes [20:15.320 --> 20:19.960] d'affaires. Je suis très content de tout ce qui se passe, tout ce que le tout-président est en train [20:19.960 --> 20:27.560] de réaliser comme projet dans notre pays. Dites qu'aujourd'hui les populations se déplacent [20:27.560 --> 20:31.560] mieux par rapport à avant, mais il y avait le chemin de fer aussi, donc ça n'aidait pas vraiment [20:31.560 --> 20:40.640] la population. Que voulez-vous? On ne peut pas critiquer l'ancienne femme parce que nous [20:40.640 --> 20:47.520] avons eu la nouvelle, mais sinon pour le chemin de fer, j'ai des inquiétudes. Je ne sais pas si le [20:47.520 --> 20:56.280] chemin de fer va revivre comme avant. Après les années 80, là où il y a eu la création de trains [20:56.280 --> 21:04.400] bleus, de trains au soleil comme là, vraiment, surtout aujourd'hui là, le voyageur ne s'intéresse [21:04.400 --> 21:11.440] même plus aux trains parce que dans mon enfance, quand on voyage avec le train ABJ à 1 à 2, [21:11.440 --> 21:18.760] vraiment le Congolais voyageait librement. Or qu'aujourd'hui, avec la route, là le voyageur [21:18.760 --> 21:24.680] décide quand il veut et il voyage librement. Huit pans ont été érigés le long du trançon. [21:24.680 --> 21:31.640] Celui de Maseka sur le passage supérieur du Cefseyo a été exécuté au gabarit du chemin de fer avec [21:31.640 --> 21:36.520] la possibilité de permettre le doublement de la voie ferrée. Le trajet routier de plusieurs heures [21:36.520 --> 21:41.800] est aussi l'occasion d'établir le contact avec les populations au gré du nombre des localités qui [21:41.800 --> 21:46.320] jalonnent le parcours et aux abords desquels se concentrera une grande partie de l'habitat. [21:46.320 --> 21:54.800] Ces villages en pournant Maseka, Wuti, Lesara, Lesbanda, j'en oublie forcément. Autant d'étapes [21:54.800 --> 21:59.760] où le transit sera ininterrompu, au point d'en faire le théâtre quotidien d'une grande animation. [21:59.760 --> 22:07.680] Femmes et hommes vendront légumes et fruits comme ananas, bananes, noix de coco, quantités de [22:07.680 --> 22:14.040] manioc, papayes, mangue, safou et autres produits au détail ou encore des produits de l'artisanat [22:14.040 --> 22:26.600] local. Le point de vue de notre évolution dans le village, côté de la circulation et des occasions [22:26.600 --> 22:35.040] de faire sortir nos produits. Il y a beaucoup de avantages parce que le camion passe n'importe [22:35.040 --> 22:42.240] quelle heure d'heure tu peux vendre jusqu'à même demain matin les gens passent. Le voiture peut [22:42.240 --> 22:50.040] arriver ici, ça gare là le vin parce que si tu gagnes moins 15 000 dans la journée c'est déjà beaucoup. [22:50.040 --> 22:58.080] C'est pour le moment d'été moins 15 sacs par jour. Et vous vendez combien de sacs par jour? [22:58.080 --> 23:05.960] 250. Aujourd'hui là ça me commence à faire plaisir à cause de la route que les chinois [23:05.960 --> 23:11.600] sont en train de faire. Comme ça vraiment ça fait beaucoup plaisir parce que je peux [23:11.600 --> 23:17.160] prendre même le diacarté ici, je peux faire l'aller-retour. Donc c'est un grand bonheur [23:17.160 --> 23:22.400] pour vous mais à quelqu'un qui a fait que vous puissiez facilement utiliser cette route là vous [23:22.400 --> 23:28.800] dites quoi à l'endroit de cette personne? Vraiment merci beaucoup pour cette personne. C'est notre [23:28.800 --> 23:35.320] président Denis Asungueso. Vraiment il a bien fait pour la route. Vraiment donc c'est un président [23:35.320 --> 23:40.320] vraiment très bon. Voilà il mérite vraiment de commander le Congo. Voilà c'est pas n'importe [23:40.320 --> 23:43.320] qui peut faire ça parce qu'il y a beaucoup de présidents qui sont passés ici au Congo. [23:43.320 --> 23:47.760] Ils n'arrivent pas à faire cela. Voilà. Ils n'arrivent pas à se faire cela mais quand même il faut quand [23:47.760 --> 23:52.320] même à produire aussi notre président Sasu. Voilà. Vraiment il faut quand même apporter [23:52.320 --> 23:56.400] notre président Sasu. Parce qu'on par avant on appelait à Montkamais s'il n'y avait pas la [23:56.400 --> 24:00.600] route. Il y avait beaucoup notre route, il y avait beaucoup de mardeaux, des crapons en train de chanter [24:00.600 --> 24:08.160] des musiques. Comme ça quand même ça fait l'harmonie. Regardez vous-même. Des points noirs jusqu'à [24:08.160 --> 24:13.120] Broisaville. Tu peux prendre même ton diakarta. Tu mets même ta copine ou ta femme derrière. Tu [24:13.120 --> 24:18.600] rentres à Broisaville facilement. Il faut reproduire quand même notre président Denis Asungueso. [24:18.600 --> 24:28.680] Vraiment c'est tout vraiment ce que je voulais dire. Voilà donc si vous avez une autre question [24:28.680 --> 24:34.680] que vous pouvez poser. Non à moins que vous ayez autre chose à nous dire. Non je n'ai aucune [24:34.680 --> 24:41.560] chose à dire. Moi mes choses c'est ce que j'ai déjà dit. Merci beaucoup. Bonjour. Votre nom? C'est [24:41.560 --> 24:48.160] Vélin Asatu. Vous êtes ici dans ce marché. Vous rendez depuis quand? Ça fait deux semaines. [24:48.160 --> 24:57.760] Dites-moi ce marché existe depuis longtemps? Depuis 6 mois déjà non? 6 mois déjà. Et donc ça [24:57.760 --> 25:02.040] veut dire que ce marché a été créé après la construction de la route qui est en train de se [25:02.040 --> 25:07.800] faire entre pointe noire et Broisaville. Oui. Quels avantages vous tirez ici dans ce marché? [25:07.800 --> 25:12.200] Et puis il y a des camionniers maintenant qui s'arrêtent là-bas. Il y a aussi les véhicules [25:12.200 --> 25:17.440] qui vont à Doluzi, pointe noire Doluzi. Quand ils viennent ici ils achètent des trucs ici là. Donc [25:17.440 --> 25:22.680] on a un autre avantage pour cette route là c'est ça. Comment est-ce que vous faites pour vous [25:22.680 --> 25:35.640] approvisionner ici? Dites-moi la route a été faite. C'est avantageux pour nous tous. Vous dites [25:35.640 --> 25:43.200] quoi à l'endroit de l'initiateur du projet? Mais oui on demande merci à celui qui avait [25:43.200 --> 25:47.760] donné la projet qu'on peut en plus améliorer cette route là. Je demande merci au chef de l'État [25:47.760 --> 25:56.240] pour ce qu'il a fait en plus pour retenir la route là. On lui demande merci vraiment. Ça nous fait [25:56.240 --> 26:01.320] très plaisir. Dans le but d'entretenir cette route deux postes de péage ont été érigés [26:01.320 --> 26:07.800] respectivement à Mingo dans le Quilou et Moukondo dans le Niari. Ils disposent chacun d'un poste de [26:07.800 --> 26:13.200] paysage pour contrôler le tonnage de véhicules. La construction de la route pointe noire Broisaville [26:13.200 --> 26:19.960] produit déjà des effets induits dans les principaux villages traversés notamment Pandila et Ponga à 44 [26:19.960 --> 26:25.560] kilomètres de pointe noire où le président de la République a conçu un centre de santé. Destiné [26:25.560 --> 26:31.320] à dispenser des soins de qualité pour populations locales, ce dispenseur dispose d'un bloc médical [26:31.320 --> 26:37.560] et d'un bâtiment administratif. Dans le village Ponga particulièrement un nouveau bâtiment vient [26:37.560 --> 26:42.520] renforcer les capacités d'accueil de l'école primaire. Il comprend trois salles de classe aux [26:42.520 --> 26:49.480] quelles s'ajoute un bloc sanitaire. Immense soulagement. Oui c'est un contrat entre l'Etat [26:49.480 --> 26:54.720] congolais et la compagnie chinoise qui est en train de construire la route. Ils ont voulu nous [26:54.720 --> 26:59.960] faire ce beau bijou pour notre établissement. Partant de moi-même vraiment je suis très [26:59.960 --> 27:04.360] contente. Vraiment les élèves ils sont aussi très très très contents. Nous devons vraiment garder [27:04.360 --> 27:11.040] notre bâtiment. On ne doit pas le salir, on ne doit pas le détruire puisque c'est un beau bijou, [27:11.040 --> 27:16.440] on ne s'attendait pas à ça. Vraiment nous avons eu ce beau bijou, on ne peut pas le gaspiller. Moi je [27:16.440 --> 27:23.920] remercie vraiment le président de la République. Enfin après deux heures de voyage, le véhicule [27:23.920 --> 27:30.280] atteint Dolissie. Oui je me nomme à monsieur Tatiola, le coordinateur de la gare routière de Dolissie. [27:30.280 --> 27:36.480] Vous êtes coordinateur de la gare routière donc vous avez de temps en temps des entretiens avec [27:36.480 --> 27:43.040] les gens qui prennent souvent la route. Qu'est ce qu'ils vous disent maintenant? Maintenant par [27:43.040 --> 27:48.840] rapport aux passagers qui voyagent à Dolissie, Cahiers, Sibytyn, n'importe où, ils se disent que [27:48.840 --> 27:55.440] notre président est en train de faire de grands efforts, de gros efforts même parce qu'avant [27:55.440 --> 28:02.280] on avait des tracasseries. Pour l'heure, à Dolissie on peut faire un aller-retour, chose qui n'était pas [28:02.280 --> 28:10.960] possible avant. Donc on se dit que avec le coup d'envoi du chemin d'avenir, je pense que le [28:10.960 --> 28:16.040] président fait des gros efforts parce que même chez nous ici, c'est une gare routière qui concurrence [28:16.040 --> 28:23.320] le chemin de fer. Donc nous aussi on se pronomme comme chemin d'avenir, Congo en avant. On nous [28:23.320 --> 28:30.720] donne des gros bravos, des gros bravos et puis un grand encouragement pour que demain, comme il y a [28:30.720 --> 28:36.920] déjà une lancée des travaux pour Dolissie en Cahiers, je pense que c'est un peu ça que je [28:36.920 --> 28:42.400] peux dire. Et des gros remerciements pour le président et je donne aussi une [28:42.400 --> 28:47.540] information à la population congolaises qui veulent voyager librement de venir découvrir le [28:47.540 --> 28:53.520] chemin du maillot. Ville située dans la vallée du Niari à 379 kilomètres à l'ouest de Brasaville, [28:53.520 --> 28:59.760] troisième du pays par son importance démographique et économique, ville du bois et de la forêt, [28:59.760 --> 29:05.280] Dolissie est aussi la cité où a été construit le lycée d'excellence de Mbunda, établissement au [29:05.280 --> 29:11.160] quel accéderont les élèves les plus méritants de notre pays. Mbunda, c'est aussi l'école que [29:11.160 --> 29:16.240] fréquenta le président Denis Asungesu. À cette époque, les élèves de Mbunda se recrayaient à [29:16.240 --> 29:21.960] des endroits symboliques précis à l'instar de cet arbre qui semble avoir résisté autant. Ce [29:21.960 --> 29:28.120] grand arbre se dresse ici face au ciel, paisible et indifférent aux rumeurs du quotidien. C'est [29:28.120 --> 29:33.200] l'historique arbre de Debrasa, le mokondo sur lequel les anciens élèves de Mbunda gravaient [29:33.200 --> 29:39.840] leur nom, surnom ou sobriquet. Le président Denis Asungesu, alors élève dans cet établissement, [29:39.840 --> 29:46.720] était lui aussi à la mode ou mieux, selon la terminologie en vogue dans les écoles, il était [29:46.720 --> 29:51.800] à jour. C'est ainsi qu'il n'hésitait pas à inscrire sur l'arbre son nom d'emprunt qu'il [29:51.800 --> 29:59.760] l'affectionnait le plus, Prince.